On peut lire dans les journaux, et souvent sur la même page, des informations contradictoires sur l’immobilier aux États-Unis. Certains suggèrent qu’une nouvelle bulle est en train de se créer. Ils se basent sur le fait que les prix montent dans plusieurs endroits du pays.
D’autres constatent que le nombre de propriétés en vente normale, lui, a augmenté de 18% et 23% comparé à l’an dernier et que l’inventaire des biens immobiliers en détresse (les « short sales » et les « foreclosures ») baisse à vue d’oeil. Il représente aujourd’hui moins de 15% de la totalité des biens en vente.
Oui, l’inventaire a baissé un peu et ça force les prix de vente à la hausse dans certains endroits, mais pas suffisamment pour s’affoler.
Sur le graphe de l’index de Case-Shiller on voit que la crête de la bulle immobilière aux États-Unis était en 2006. Un bien immobilier qui valait $100,000 en 2000 se retrouve six ans plus tard à valoir près de $210,000. Tout un saut.
Puis vient en 2009, la pire dégringolade: en Floride, une chute souvent de 60% de la valeur maximale en 2006. Les investisseurs avertis sautent sur les occasions et elles abondent.
Depuis 2013, on remarque une remontée des prix de vente. En mars 2014, CoreLogic publie son rapport mensuel dans lequel il indique que le prix de l’immobilier au niveau national reste autour de 16.9% de moins qu’en avril 2006 au sommet de la bulle.
La Floride a souffert énormément de cette bulle et cette différence avec 2006 est la plus haute de tous les USA d’après CoreLogic: 30.4% de moins qu’en 2006.
C’est donc encore une très bonne affaire que d’investir en Floride aujourd’hui.
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